CONLIEGE (39)

La salle des fêtes était comble ... afin de redécouvrir Joël Jacquelin entouré de Christophe Girard, accordéoniste et André Hawrylko, pianiste, dans un show réservé aux grands standards de Jacques Brel, ou à des chansons peu connues du grand public comme Orly et Jeff, avec une nouveauté, Pierre Duc apportant ses talents de dessinateur en mettant en images sur écran et en direct l'illustration de la production sur scène. Finalement une sorte d'apothéose d'une journée musicale suivie par un nombreux public

CONLIEGE (39)

Le concept de la soirée cabaret mise en place par les Amis de la percée et Josie Verguet, depuis plusieurs saisons, continue à fonctionner en attirant un public nombreux. Samedi soir 18 novembre, la salle des fêtes a accueilli 162 spectateurs venus assister au spectacle donné par le comique-musicien Joël Jacquelin, lequel est parfois associé au Teuf dans des soirées toujours très fréquentées. Celui-ci est un musicien de talent, avec une voix d’une musicalité extraordinaire, alternant dans ses interprétations, tendresse et émotion en donnant le frisson aux spectateurs, surtout lorsqu’il reprend « Quand on a que l’amour » de Jacques Brel, ou la Castafiore pour « mes morilles ». Il embarque dans une certaine ivresse un public conquis, enchanté, lequel a, tout au long de la soirée, repris les refrains de Joël, les refrains de toujours. « Une soirée qui fait du bien… » indique une spectatrice. Il est vrai que celle-ci était finalement une belle ballade sentimentale et humoristique avec des reprises des Félix Leclerc, Ferrat, Brassens et bien d’autres encore, auxquelles s’ajoutaient, entre autres, les créations déjantées tirées du célèbre duo que Joël forme avec son ami Eric Thevenin, mieux connu sous le vocable « du Teuf ».

BELLEFONTAINE (39)

Quand le grand Jacques est interprété par le grand Jacquelin et ses copains artistes, le concert fait salle comble pour un public comblé

LA BARRE (39)

Avec 130 spectateurs, la salle du foyer rural était une nouvelle fois copieusement remplie ce vendredi soir. Chanter Brel est un exercice difficile. Joël Jacquelin le fait avec sobriété, sincérité mais avec une grande intensité. Sa tessiture de voix est d'une telle amplitude qu'elle lui permet d'être à l'aise dans tous les registres des oeuvres du grand Jacques, des plus graves aux plus légères. Et quand Joël se permet quelques facéties comme dans les Bigotes, les rires fusent. L'excellent accompagnement de Christophe Girard à l'accordéon et d'André Hawrilko au piano participe grandement à la réussite de ce bel hommage à Jacques Brel.